Le Témoignage de Laura Ingalls

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Où les amis de Suzanne Marlowe découvrent une partie de l’identité de celle qui se fait appeler Laura Ingalls.
Où l’internaute découvre comment le charme discret de Suzanne Marlowe perce la toile.

Amis de Suzanne Marlowe, bonjour. Tout d’abord laissez-moi me présenter. Je suis une jeune femme de 21 ans. Je suis mariée au plus beau jeune homme que la Terre ait jamais porté et grâce à Dieu nous coulons des jours heureux. Je me fais appeler Laura Ingalls car j’ai admiré cette jeune et célèbre pionnière et ma vie ressemble à la sienne par certains aspects (simplicité, joie, gaieté, amour).

J’ai découvert empiriquement la toile il y a environ 6 mois. Auparavant je chantais souvent la chanson de Candy et je gardais un amour profond pour tous les DA des années 80, spécialement pour « Mademoiselle tâches de son ! ».

Il y a deux ans, mes parents, mes trois petits frères, et ma petite sœur sont partis à Montréal pour changer de vie. À dater de ce jour (lundi 12 avril 1999) je me suis tournée avec nostalgie vers mon passé. Quand j’ai découvert, grâce à Internet, les mp3 de mes chers DA, j’ai senti mon cœur fondre, et ce terrible pincement au cœur qui fait mal, acide et aigu, en regardant le générique de « Clémentine, quand tu fermes les yeux, on devine le merveilleux » là je l’avoue sans honte les larmes de la nostalgie m’ont envahies.

Nostalgie de mes jeunes années, de cet horrible canapé jaune dans lequel nous roulions sautions tous les cinq pour nos DA préférés, nostalgie de ma famille émigrée, nostalgie des moments disparus, de la complicité effacée. Je pleurais passivement sur mon infortune, la dureté de la vie, le manque d'argent. Je me lamentais de façon stérile.

Puis j’ai rencontré le site de Sophie, et par là celui de Baghera. C’est alors que les premières allusions à la mort de Suzanne choquèrent mon âme sensible. Des êtres cruels et sanguinaires réclamaient la mort de Suzanne afin de satisfaire à une histoire de cœur, d’autres l’affublaient d’une jambe téléguidée dont la télécommande appartiendrait à ses bourreaux. Quelle horreur !! cela me choqua de prime abord car je suis d’une nature sensible et je respecte la vie humaine quelle qu'elle soit. En outre, la pauvre Suzanne avait subi bien des tracas. Et quant à l’histoire Terry-Candy, eh bien mes amis, je crois en Dieu, et qu’Il a prévu toute chose. Aussi s’Il a décidé que Candy et Terry doivent être unis, nul ne pourra s’y opposer alors il est inutile de martyriser ainsi la pauvre petite. Et Suzanne, altruiste et généreuse ne pourra jamais se constituer l’obstacle au bonheur de Terry.

C’est pourquoi je pris la défense de Suzanne sans vraiment l’aimer. Aussitôt CyberFred, le chevalier de la matrice eut l’amabilité de m’informer de l’existence du clan des Amis de Suzanne Marlowe, les Suzanne Marlowe Lovers (pour les épris d’anglicismes). Aussi je visitai page après page ce véritable bijou de romantisme dédié à la gloire d’une jeune fille. J’aime beaucoup Beethoven, j’aime les lys et j’aime Suzanne dont j’ai découvert la véritable personnalité.

Bien. À l’heure actuelle, je regarde l’intégrale des « Merveilleuses Cités d’Or » avec mon prince charmant. En attendant que l’intégrale de Candy Candy sorte un jour, je vous laisse en compagnie de la belle et aristocratique Suzanne pendant que je m’en vais goûter aux joies de l’amour partagé...

Bonne nuit !

De la part de Stéphanie, alias Laura Ingalls (SML)

Août 2001

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